Ushiro Waza : En finir avec les mythes

Publié le 30 Novembre 2022

Ushiro Waza : En finir avec les mythes

Cette saison 2022-2023, l'aïki-kohaï fait le choix de la réflexion et de la pratique plutôt que de privilégier la quantité des publications que vous trouverez dans mes colonnes. Bien entendu, ce choix éditorial n'impacte pas les différentes revues dans lesquelles vous pouvez me retrouver régulièrement à savoir Dragon magazine (devenu SELF & Dragon que vous découvrir et commander sur ce lien) et Yashima (que vous pouvez découvrir et commander sur ce lien en plus des kiosques).

Parler pour parler de l'Aïkido ou faire de la communication sur la discipline n'a jamais été le propos du blog qui propose la vision d'un débutant (qu'il soit grand débutant ou shodan qui est le grade du débutant dans le BUDO japonais), mes réflexions sur le sujet et mon travail pour intéresser les élèves et les responsabiliser tout le long de leur parcours martial.

Cet article, mis à jour entre fin 2022 et début 2023 accompagne ma réflexion sur le thème "Ushiro Waza" qui signifie "technique arrière" lors de ma formation enseignant et dans l'optique de proposer différents cours. Les débats autour de cette thématique ayant été bien plus intéressants que je ne m'y attendais, j'ai souhaité encore approfondir le sujet et vous livrer cet essai sur le travail de la technique arrière en Aïkido.

J'y expose tout d'abord la signification première de ces techniques, son origine, son évolution, sa spécificité et son intérêt tout en vous proposant le fruit de mon travail destiné également à en finir avec les mythes éculés que nous relayons tous, parfois par ignorance, parfois par choix, parfois pour appuyer son propre enseignement et SA vision de l'Aïkido.

Je souhaite également vous exposer pourquoi je pense essentiel de ne pas se mentir à soi-même, de ne pas induire nos élèves en erreur et d'amener des pistes de réflexions sur le sujet à une période où beaucoup dans le petit monde fédéral s'interroge sur la pertinence de notre corpus technique, sur la thématique dites de "l'Aïkido Défense" sur laquelle nous pourrions débattre des heures, et sur l'avenir global de l'Aïkido mondial aujourd'hui en danger de mort.

Cet essai n'a pas pour but d'affirmer qu'il s'agit de la seule voie possible, juste de vous exposer quelques arguments pertinents, de nombreuses pistes de travail et ma vision personnelle de la pratique à la fois en tant qu'élève débutant sur la voie et enseignant en devenir.

De même, vous trouverez à la fin de cet essai l'ensemble de mon matériel bibliographique pour approfondir la question sans doute bien mieux que moi.

 

Préambule : Que signifie vraiment Ushiro Waza :

 

Le Kanji Ushiro   signifie "derrière/arrière" et il est opposé au kanji Mae   qui signifie devant/avant. Comme l'expliquait fort justement Taro Ochiaï dans un article sur le sujet on dira donc je suis debout devant (Mae) la maison et je vais regarder derrière (Ushiro) l'arbre.

On parle de Ushiro Waza car le Kanji Waza signifie technique dans le sens d'une certaine catégorie technique pour la plupart des pratiquants. Dans la plupart des nomenclatures, Ushiro Waza, les techniques arrières se distinguent donc du Suwari Waza, la pratique où deux partenaires sont à genoux, hanami handachi waza où seul un des deux pratiquants se trouve à genoux, tachi waza où les deux partenaires se font face et buki waza où au moins l'un des deux partenaires pratique avec une arme.

Cette situation est plutôt originale, même au regard d'autres Budo Japonais car dans la plupart des arts martiaux et sports de combat connus du grand public, la catégorie dites tachi waza est le plus souvent utilisée puisqu'il s'agit d'affrontements rituels où deux partenaires se font face la majorité du temps. Pour un néophyte, la plupart des situations martiales imaginées regroupent le plus souvent une situation dites "de duel ritualisé" où deux partenaires/adversaires sont face à face et sont en capacité de répondre à différents scénarios.  De façon approfondie, la presque totalité des disciplines martiales vont aborder le sujet des attaques arrières et la possibilité d'une opposition de dos permettant de développer différentes compétences comme l'attention, la vigilance ou même la proprioception.

L'originalité du corpus technique dit Ushiro Waza en Aïkido n'est pas d'aborder le fait qu'un partenaire puisse attaquer à l'arrière ou de biais en morcelant le champ de vision de celui qui va s'y opposer mais bien de proposer une vision originale de cette rencontre.

Comme nous allons le voir, cette originalité ne va absolument pas de soi et trouve son évolution dans la même logique que d'autres principes si chers à notre discipline. On pourra également juger cette évolution d'un point de vue martial, d'un point de vue réaliste et d'un point de vue historique.

 

Maki No Ichi : Exemple de technique en Ushiro Waza

 

Ushiro Waza où l'évolution d'une situation originale :

Deux poncifs sont très installés dans l'esprit des pratiquants d'Aïkido :

- L'Aïkido viendrait du sabre, ce qui est historiquement discutable.

- Ushiro waza serait réaliste  et efficace du fait d'un contexte particulier où, à l'origine, un combattant non armé affronterait un combattant armé d'un sabre et l'empêcherait donc de dégainer ou de mener son attaque à bien. Ce fait est également historiquement discutable et techniquement peu probable.

Pourquoi ces deux affirmations ? Je m'explique immédiatement :

L'Aïkido vient historiquement des techniques étudiées en Daïto-ryu aïkijujutsu (école de Sokaku Takeda dont nous avons déjà parlé dans ces colonnes) pour la très grande majorité de son corpus technique. Dans le cadre d'un essai que j'estime très complet sur l'origine des armes en Aïkido que j'ai rédigé en 2017 (dont vous trouverez à la fin la bibliographie associée) et dans mon article plus succinct sur la relation complexe entre Aïkido et Sumo j'ai déjà évoqué deux faits bien connus des experts en histoire des arts martiaux japonais à savoir que :

- Premièrement, l'Aïkido et son ancêtre le Daïto-ryu Aïkijujutsu se sont effectivement construits dans un contexte où il fallait prendre en compte l'utilisation du sabre. Toutefois, si les deux arts se sont formées dans un rapport au sabre où il était parfois nécessaire de contrer ou bien neutraliser des techniques d'épéistes, la grande majorité du corpus technique de ces deux parents tiennent plutôt de la lutte à mains nues que de la pratique des armes. Le Sumo est d'ailleurs plus proche de l'Aïkido que la plupart des écoles de Kenjutsu anciennes. Cette affirmation s'appuie notamment sur un entretien déja évoqué d'avril 1979 entre Stanley Pranin et Takuma Hisa, étudiant de la première heure à la fois de Sokaku Takeda et de Moriheï Ueshiba. Elle s'appuie également des travaux d'Ellis Amdur.

Essayons d'en expliciter quelques éléments ensemble pour développer mon propos.

Comme déjà évoqué dans ces colonnes, Sokaku Takeda se lance dans son métier d'instructeur à partir de 1897 et, à cette période le japon est presque totalement désarmé en dehors de l'armée et de la police. Ainsi, s'il voulait gagner de l'argent pour vivre Sokaku Takeda du se consacrer d'avantager à diffuser au plus grand nombre ce que la concurrence ne proposait pas : à savoir une discipline efficace à mains nues. Seuls quelques élèves triés sur le volet (dont Moriheï Ueshiba ne fera d'ailleurs pas parti insistons beaucoup là-dessus) sont exposés aux techniques avancées avec armes du Daito Ryu.

Cela peut paraître étonnant mais à la fin du XIXème siècle les arts martiaux traditionnels japonais sont presque en voie de disparition et ce sont principalement quelques experts aux armes qui font encore recette pour différentes raisons.  A l'inverse, la pratique du Sumo est restée extrêmement populaire tout en proposant une approche compétitive jugée incompatible avec la pratique martiale. Sokaku Takeda va donc jouer sur un marché de niche à la frontière entre tradition et modernité pour diffuser son art dans tout le Japon à un très grand nombre d'élèves qui vont, pour la plupart, recevoir une petite partie seulement de son savoir contre rémunération comme en témoigne les deux carnets où il précisait à la fois qui recevait son enseignement et qui payait la facture.

Ainsi, l'Aïkido qui descend donc d'un art martial adapté en grande majorité pour le combat à mains nues, et dont le fondateur lui même n'a pas été exposé de façon approfondie aux armes par son maître puisqu'il ne possède qu'un Kyoju Dairi qu'on peut traduire par licence d'instructeur (obtenu en 1922 et équivalent du "Shodan") dans sa discipline mère, ne peut pas descendre de la pratique des armes. Cette pratique des armes s'est développée plutôt dans la dernière partie de la carrière martiale d'O-sensei et, là aussi, n'a pas été transmise à tous. C'est bien pour cela que de nombreux systèmes d'armes se sont ensuite développés autour de la pratique de l'Aïkido pour l'enrichir.

- Deuxièmement, Moriheï Ueshiba possèdant uniquement le Kyoju Dairi comme déjà dit, il est aussi assuré qu'il maîtrise uniquement la partie appelée "Hiden Mokuroku" ou "Catalogue secret" de son art qui comprend seulement le premier curriculum de l'école de Sokaku Takeda. C'est ce que le fondateur de l'Aïkido va principalement enseigner tout le long de sa carrière martiale à la presque totalité de ses élèves comme en témoigne une interview de Shirata Rinjiro, principal ushideshi d'avant guerre d'O sensei, pour Aiki News de mai 1980. Sur les 118 techniques que compte ce premier curriculum de l'école, une seule technique voit Uke arriver latéralement dans un contexte où il est extrêmement peu probable d'empêcher le dégainage d'un sabre.

Toutes les autres techniques dites "arrières" sont effectuées par un uke placé très majoritairement de façon statique dans le dos de Tori comme l'évoque d'ailleurs des experts comme Jean Marc Chamot dans ses réflexions sur le sujet ou même Toshiro Suga dans ses différentes études consacrées à Ushiro Waza. Aucune de ses techniques dites Ushiro Waza n'est présentée à l'origine pour la pratique des armes et pour cause, le contexte est plutôt celui de la surprise (en mode commando militaire) et l'attaque présentée se fait souvent sur un étranglement de type Kubishime qui présente le maximum de réalisme. Dans ce cas, Tori est positionné en Mu Kamae (sans garde particulière) et doit se faire surprendre puis se dégager. La technique le place in media res dans une situation où l'on part du principe qu'il n'a pas vu venir l'attaque et doit la subir. Il n'est jamais question dans ce contexte de dégainer une arme puisque Uke est déjà "sur" Tori.

O-sensei lui même jusqu'en 1955 démontrait Ushiro Waza à la manière du Daito Ryu, en positionnant son uke derrière lui et le plus souvent sur un étranglement ou une saisie des deux mains. C'est également rappelé dans l'enseignement de Hikisuchi Michio. J'ai également vu très souvent Itsuo Tsudo présenter ainsi ce principe (en saisissant par l'arrière les deux poignets de tori) Cela signifie que 98% de sa carrière martiale, Ushiro Waza n'a jamais été utilisé par notre fondateur pour expliciter un contexte où il faut empêcher de dégainer une arme de face. C'est ce que pratiquait également ses élèves directs pour la plupart jusque dans les années 50.

Avez-vous déjà vu Morihei Ueshiba avant cette période et sur un quelconque document photo ou vidéo attaquer ou se faire attaquer de la façon dont nous pratiquons tous Ushiro Waza ? Moi pas. Je ne demande pas mieux que de voir l'inverse.

Cela ne veut pas dire que certaines techniques d'Aïkido ne sont pas réalistes pour empêcher de dégainer un sabre, entendons nous bien, je précise tout simplement qu'aucune technique en Ushiro Waza n'est destinée à faire cela de face en espérant s'avérer réaliste. Répétons le. Aucune.

Attention : A la fin des années 50, Moriheï Ueshiba commence effectivement à démontrer cette technique d'une façon nouvelle. Présenté de face, Tori et Uke prenne cette fois contact avec leurs deux mains tendues évoquant un sabre et la technique va évoluer vers sa forme dites "moderne" que nous connaissons où Uke contourne Tori et sort un instant de son champ de vision en passant par son coté. Cette version sera popularisée par le second Doshu et va évoluer vers la forme actuelle que nous présentons comme en rapport avec le sabre. Il est toutefois très improbable d'évoquer le réalisme des champs de bataille du Japon féodal dans ce contexte puisque cette pratique est introduite dans nos dojos depuis seulement 70 ans. Ce n'est pas non plus les techniques qui sont présentées par le fondateur aux différentes académies militaires où il enseignait pendant la guerre.

Ajoutons enfin que la plupart des spécialistes du Japon médiéval jugeraient hautement improbable le scénario dans lequel s'imaginent certains enseignants avec nos techniques en ushiro waza "modernisées" depuis les années 50. En effet, les rapports de bataille ou les récits de cette période (comme le Moko Shurai Ekotoba) voyaient les samouraïs combattre en petits groupes de cavaliers, soutenus par de l'infanterie. L'arme de prédilection n'étant pas le sabre mais bien l'arc, il était plus probable d'être mort tué par une flèche que de toucher le sol, de perdre l'ensemble de ses armes (y compris les couteaux très utilisés dans ce cas de figure en plusieurs exemplaires) avant de se retrouver face à un homme armé d'un sabre (la piétaille étant bien souvent armée par des lances, des bâtons ou même des armes à feu). Les Genkimono (récits épiques) qui pourraient attester d'une telle situation possèdent la même précision historiques que les fictions netflix.

 

Budo Renshu : Exemple de technique Ushiro Waza

 

Spéculations martiales et raisons de l'évolution d'Ushiro Waza :

Les situations d'attaques arrières dites réalistes tendent à disparaitre peu à peu du corpus technique de l'Aïkido entre 1942 (date de naissance de l'Aïkido) et 1954.

Comme nous avons pu l'expliciter, O-Senseï pratique strictement à la manière du Daito-Ryu aïkijujutsu et à l'aune des connaissances qu'il a pu recevoir jusqu'en 1950. Budo Renshu, offert comme aide mémoire aux élèves du fondateur ayant atteint le niveau Hiden Mokuroku en aïki-jujutsu témoigne de cet état de fait sans qu'aucune contestation soit possible comme le développe Chris Li dans son travail sur le sujet.

Cette situation va encore évoluer avec Maki No Ichi, premier ouvrage traitant de l'Aïkido depuis sa naissance et servant là aussi d'aide mémoire pour quelques élèves ayant atteint en général le grade "shodan" même si rien dans l'ouvrage ne laisse à penser qu'il servait de document officiel ou de licence. Maki No Ichi contient moins de techniques que l'ouvrage précédent (144 pages au lieu de 218 pages). Les références au militarisme dans Budo Renshu ne sont plus présentes dans Maki no Ichi et l'ouvrage se concentre moins sur les applications.

C'est donc tout à fait logique que la pratique d'Ushiro Waza évolue à cette même période comme en témoigne les différents élèves directs du fondateur. L'Aïkido reste un Budo au sens de la méthode d'éducation comme en témoigne la lettre de motivation destinée à l'occupant Américain pour demander, après la capitulation Japonaise, l'autorisation de pouvoir continuer à pratiquer et se développer dans un contexte pacifique.

Toute la philosophie pacifique de l'Aïkido et ses principes que nous connaissons tous (respect de l'intégrité du partenaire, principe de non opposition etc...) vont se développer à cette période et les techniques d'attaques arrières vont évoluer avec.

Mais alors pourquoi continuer à pratiquer ainsi et quel est l'intérêt d'attaquer Tori ainsi puisqu'il n'est plus question de prendre uke par surprise, de l'étrangler rapidement ou d'atteindre à son intégrité ? En Aïkido, rien n'est inutile et il serait totalement idiot de penser que, parce qu'une technique n'est pas ou plus réaliste, qu'elle n'est utile in fine.

Les spécificités des attaques arrières de type "Ushiro Waza" demeurent puisqu'elles permettent de développer ses capacités de perception afin d'apprendre à mieux appréhender ce que l'on ne voit pas directement. La compétence à développer est la suivante une fois que l'application est passée au second plan : il s'agit d'apprendre à gérer un adversaire/partenaire qui sort de son champ de vision d'un coté de son corps pour l'amener à réapparaitre à l'autre coté de celui-ci. A cette première compétence s'ajoute une seconde compétence de perfectionnement : apprendre à gérer cette contrainte spécifique, à ne pas en avoir peur puis à s'en libérer. C'est ce qu'on appelle dans l'univers martial "apprendre à gérer les angles morts". Même si la situation n'est plus réaliste, cette mise en situation va demeurer utile pour l'ensemble de ces raisons pour les débutants, les gradés et les amoureux de la bagarre.

Aidons nous du philosophe Matthew B. Crawford pour y voir plus clair sur ces points : "Face à quelqu'un qui lui cherche querelle dans un bar, un expert en arts martiaux perçoit la position de l'individu en question et la distance qui l'en sépare comme permettant si nécessaire de porter certains coups et en excluant d'autres. C'est la pratique et l'habitude qui lui permet de voir l'agresseur sous cet angle. [...] Autrement dit, il voit les choses qui échappent totalement à un quidam".

Sans croire que cette mise en situation est réaliste, Ushiro Waza nous apprend donc tout de même à développer notre perception, notre lecture du partenaire ou d'un adversaire potentiel et de ses intentions. Ce dernier principe devrait, à lui seul, éveiller notre intérêt.

Mon avis personnel est purement spéculatif : Je crois sincèrement qu'Ushiro Waza est destiné avant tout à nous permettre de développer à la fois une vision périphérique, une lecture plus profonde des événements mais aussi à susciter l'envie d'engager un Kaeshi Waza et de reprendre l'initiative qu'uke tente de nous retirer. Alors que nous sommes dans l'éducatif et non dans un combat de rue, nous restons donc pourtant dans l'art de la guerre comme Sun Tzu l'évoque à savoir : "Un soldat habile se place d'abord dans une position invincible, puis s'assure de ne jamais laisser passer l'occasion de vaincre. Une armée victorieuse s'assure d'abord de son invincibilité, ensuite seulement combat l'ennemi".

 

Maki No Ichi : Exemple de technique en Ushiro Waza

 

Bibliographie pour aller plus loin :

- Biographie de Moriheï Ueshiba, Chroniques de l'homme Dragon, Aïki-kohai. Disponible sur Aïki-kohai et dans les anciens numéros de Dragon Magazine.

- Origines de l'Aïkido, la relation complexe entre le sumo et le daito ryu aiki-jujutsu, Aïki-kohai/Pierre Fisier, 14 juillet 2019.

- Essai sur l'origine des armes en Aïkido, Aïki-kohaï/Pierre Fissier, Article du 14 mai 2017.

- Takuma Hisa, The Bridge Between Daito Ryu and Aiki Budo, Josh Gold, Article du 8 mai 2016.

- Dragon Magazine HS spécial Aïkido N°25 Thème Suwari Waza.

- Self et Dragon N°1 spécial Aïkido N°1, Thème Ushiro Waza.

- Budo Renshu en version Française aux éditions Trédaniels, 1998 et Maki No Ichi, ce dernier étant disponible sur le site de Chris Li, Aikido Sangekai.

- Budo Renshu, la clef technique de l'Aïkido de Morihei Ueshiba, Guillaume Erard, 14 février 2019

- Ushiro Waza, un ensemble technique complet, Emmanuel Betranhandy, Paresse Martiale, 14 juillet 2020

- Ushiro Waza, les cahiers de l'Aïkido, Partie 15 par Michel Erb.

- L'enseignement caché des attaques arrières, Germain Chamot, 7 décembre 2020.

- Aïkido, la maîtrise de soi, par Toshiro Suga, Vidéo disponible : https://www.youtube.com/watch?v=qaPqKIs_UKo&ab_channel=FightingSpirit

-Ellis Amdur, Duel avec O-sensei : Lutte contre le mythe du guerrier sage, Broché, 2021

-Ellis Amdur, Hidden in the plain sight, Esoterci Power within Japanese martial traditions, Tracing the roots of Ueshiba Morihei's Power, Broché, 2018

 

 

 

Rédigé par Aïki-Kohaï

Publié dans #Arts martiaux, #Pratique de l'Aïkido, #Actualités-Nouveautés

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